David, dreaming of bigger trees

Estelle découvre les basiques de l’histoire de l’art, tsé. Ce post sert à rien (et – ironie vu le sujet – il est très mal fait). Je perds mon temps à faire n’importe quoi, alors que du temps, j’en ai pas tant que ça, vu que j’ai DÉJÀ UN JOB. Hier, j’ai quand même tapé « corbeaux rassemblement paris » dans Google, et j’ai cliqué sur 4 ou 5 liens différents pour savoir pourquoi la veille j’avais vu un paquet de corbeaux (vingt-quatre, quand même. VING. QUATRE) sur le toit de l’immeuble d’en face au petit matin. J’ai fini par abandonner ma quête, jugeant que c’était quand même pas la peine de de perdre tout ce temps à chercher une réponse aussi triviale. Du coup, tout ce que j’ai appris, c’est que les corbeaux aimaient le groupe (ok, Sherlock) et qu’ils avaient une super mémoire. Du genre : si vous leur faites du mal un jour, ils vont s’en souvenir, vous RETROUVER et vous TRAQUER, et même TRANSMETTRE L’INFO A LEURS CAMARADES. Liam Neeson dans Taken à côté, c’est un mec qui a zéro suite dans les idées. Bref. J’imagine qu’il y a une morale à tirer de cette requête google avortée mais j’ai la flemme (j’imagine qu’il y a une morale à tirer de cette phrase pas terminée mais j’ai – OH ÇA SUFFIT, OUI ? J’EN AI MARRE, REMBOURSEZ !!).

Bref. Il aurait été judicieux de mettre en ligne cette histoire avant que la rétrospective David Hockney au Centre Pompidou se termine, mais j’ai pas réussi. C’est pas grave.

Je vous laisse avec 80 petits films que le réalisateur Bruno Wollheim a mis en ligne gratuitement pour les 80 ans de David Hockney en 2017.

4 réflexions sur « David, dreaming of bigger trees »

  1. Bonjour Estelle,

    as usual…j’aime beaucoup. Je n’ai jamais vu le « Bigger Trees » en vrai…mais il fait partie des œuvres que j’espère bien pouvoir contempler un de ces jours.

    Concernant les corbeaux…dans la mesure ou je n’ai rien à faire de mes journées (du travail !? meuh non…) cela m’a intrigué votre histoire et j’en suis venu à la conclusion qu’il y avait peut être eu un corbicide…dont vous pourriez être tenue pour responsable par les 24 témoins..cf explication ci-dessous (l’Obs 2016).
    Si l’on veut penser qu’Hitchock était un visionnaire, l’on peut regarder ce reportage sur nos amis à plume…qui m’avait amener à porter un autre regard sur nos amis à plumes noires : https://www.youtube.com/watch?v=vAf3W50dWko

    En espérant une nouvelle planche bientôt,
    Alexandre

    Les « funérailles » des corbeaux

    En étudiant les corneilles d’Amérique, Kaeli Swift et John Marzluff, de l’université de Washington (USA) se sont aperçus que celles-ci se rassemblaient sur les lieux de la mort d’un de leurs congénères. Une vision anthropomorphique de tels événements pourrait amener à conclure que ces oiseaux célèbrent une sorte de rite pour les funérailles de l’un des leurs. En fait, c’est une démarche beaucoup plus pragmatique : ils s’inquièteraient de la possible présence d’un prédateur s’attaquant à leur espèce, et ils s’assembleraient pour tenter de connaître les causes du décès.

    Un apprentissage réussi, puisqu’ils évitent ensuite les éléments (ou les créatures) qui auraient un rapport supposé avec les faits. Ainsi, un humain vu avec un corbeau mort sera associé au danger, et les corbeaux peuvent s’en souvenir pendant six semaines…

  2. Salut Estelle,

    Plus de nouvelles de toi depuis le 31 octobre. Tu nous manques…
    En ces temps de froidure, après la mort de Johnny, ce serait bon d’avoir des nouvelle de toi…

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