Estelle découvre les basiques de l’histoire de l’art, tsé. Ce post sert à rien (et – ironie vu le sujet – il est très mal fait). Je perds mon temps à faire n’importe quoi, alors que du temps, j’en ai pas tant que ça, vu que j’ai DÉJÀ UN JOB. Hier, j’ai quand même tapé « corbeaux rassemblement paris » dans Google, et j’ai cliqué sur 4 ou 5 liens différents pour savoir pourquoi la veille j’avais vu un paquet de corbeaux (vingt-quatre, quand même. VING. QUATRE) sur le toit de l’immeuble d’en face au petit matin. J’ai fini par abandonner ma quête, jugeant que c’était quand même pas la peine de de perdre tout ce temps à chercher une réponse aussi triviale. Du coup, tout ce que j’ai appris, c’est que les corbeaux aimaient le groupe (ok, Sherlock) et qu’ils avaient une super mémoire. Du genre : si vous leur faites du mal un jour, ils vont s’en souvenir, vous RETROUVER et vous TRAQUER, et même TRANSMETTRE L’INFO A LEURS CAMARADES. Liam Neeson dans Taken à côté, c’est un mec qui a zéro suite dans les idées. Bref. J’imagine qu’il y a une morale à tirer de cette requête google avortée mais j’ai la flemme (j’imagine qu’il y a une morale à tirer de cette phrase pas terminée mais j’ai – OH ÇA SUFFIT, OUI ? J’EN AI MARRE, REMBOURSEZ !!).
Bref. Il aurait été judicieux de mettre en ligne cette histoire avant que la rétrospective David Hockney au Centre Pompidou se termine, mais j’ai pas réussi. C’est pas grave.
Je vous laisse avec 80 petits films que le réalisateur Bruno Wollheim a mis en ligne gratuitement pour les 80 ans de David Hockney en 2017.