« Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent. »

Aujourd’hui, un post historico-métaphysique qui pourrait s’intituler « L’empereur et la tapisserie ». Un titre et un thème très accrocheurs, tout le monde en conviendra. Apparté : vous trouvez pas que le Joffrey Baratheon de Game of Thrones ferait un bon Caligula ? Sur ce, bon dimanche. Je vous embrasse bien fort de dessous ma moustache acérée (je vous préviens, j’ai mangé un sandwich brie-cornichon ce midi).

3 réflexions sur « « Qu’ils me haïssent, pourvu qu’ils me craignent. » »

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