Traduction approximative : « Reseda croyait fermement au pouvoir de guérison de l’activité physique. Mais parfois, elle avait l’impression que tous les cours de vélo en salle ne suffiraient pas à éliminer sa tristesse. »
Bonsoir les petits n’enfants ! Alors, vous êtes contents, y fait beau dehors ? J’espère que vous célébrez le retour des beaux jours avec une bonne bière et de la bonne compagnie. Qu’ai-je à dire à propos de ce post, si ce n’est que moi aussi, j’ai recours à l’activité physique pour égaliser mon humeur très « Up and Down » (« Lofteurs, Up & Down, Lofteurs, look around », on sait)…
Reseda s’appelle « Reseda » parce que j’ai lu dans « Le miasme et la jonquille » qu’au 19ème siècle, le réséda était l’une de fleurs odorantes les plus en vogue des jardins, alors qu’aujourd’hui… Non. Je suis curieuse d’aller en renifler, car je n’en ai aucune représentation olfactive – ni visuelle, d’ailleurs. Quel étrange sentiment que de ne même pas pouvoir se figurer un élément visiblement marquant d’une culture. Ça me fiche le même vertige que quand je découvre des termes d’une langue étrangère faisant référence à un découpage de la réalité qui m’est inconnu. Comme quand j’ai appris le mot « spleen » au collège, ou le mot « Unheimlich » en allemand.
VERTIGO ALERT! VERTIGO ALERT! Dans 5 minutes je tombe dans un vortex de questions sans fin comme « À partir de quand l’être humain a-t-il commencé à se moucher ? ».
Sur ce, je vais boire ma bière. Je vous laisse avec un titre qui ma foi, s’accorde bien avec la dilatation des pores par l’effort et la pratique du squat artisanal, autrement dit « Danser chez soi tout-e seul-e dans le noir comme si demain n’existait pas » :