Perruches résilientes

PerruchesCollier

« Quoi ?! Elle poste pas pendant deux mois, et elle revient pour nous parler de perruches à collier qu’on n’en n’a rien à péter, c’est quoi cette affaire ?!« . Oh eh, mollo les glaviots, je fais qu’est-ce que je veux, hein.

Maintenant que mon autorité est rétablie, précisions : quand je l’ai appelé pour vérifier quelques infos (ça c’est de l’investigation, rep a sa, Elise Lucet !)le Centre Ornithologique d’Ile de France m’a dit : « Bon, les perruches à collier en liberté, faut éviter de les nourrir, quand même ». Alors je relaie le message. Est-ce qu’il faut aussi éviter de les mouiller ? Ça, je sais pas.

Sur ce, je vous souhaite une bonne rentrée , moi faut que j’aille m’entraîner à imiter le cri de la perruche à collier (dur) :

La prochaine fois, je vous parlerai d’une espèce de mousse endémique des marais du Luxembourg qui s’est installée au Cap d’Agde, vous allez voir, c’est très intéressant. JE PLAISANTE, ha ha ! La prochaine fois je vous parlerai sans doute de ma chatte.