Moi il y a quelques mois : « Ah la la, comme je suis contente d’être en vie ! ENFIN ! Heureuse ! Enfin je sais comment en profiter ! Ah pourvu que ça dure ! »
C’est ballot.
J’ai lu un article qui disait que cette période de grande incertitude nous pousse à regarder en face ce qui est avec ou sans pandémie, et que certain·e·s ont la malchance de vivre tous les jours, à savoir : la grande fragilité de nos vies.
C’est vrai, mais vu que j’y pense tous les jours depuis à peu près toujours, ça me fait une belle jambe.