Persévérance par temps chaud

Chimay, c’est ma chatte, au cas où vous le sauriez pas. Elle m’a fait ça samedi après-midi, j’ai bien rigolé. Mais après tout, qui suis-je pour me moquer ? Par ce temps, rien qu’en clignant des paupières je sue sous les nibz. AH OUAIS, VOUS VOULIEZ PAS LE SAVOIR ? EH BEN TANT PIS, TROP TARD !

Que dire d’autre… Ces jours-ci je regarde beaucoup de DIY vidéo, car j’adore le système D. Mais j’avoue que certains vont quand même très très loin. Des sandales fabriquées au pistolet à colle.

… HEIN ?, pouvez-vous répéter, monsieur madame ? Des claquettes de piscine entièrement en colle ?! J’ai comme un doute. Un doute de la catégorie : quand j’étais petite et que j’ai voulu fabriquer une salle de bain à ma Barbie en collant des VRAIS morceaux de carrelage sur du carton et que les murs de son mini-spa se sont effondrés sur Barbie rock. Ceci dit, cet épisode malheureux m’a appris une loi simple de la physique. Bon allez, SALUT !

2 réflexions sur « Persévérance par temps chaud »

  1. Mais au fait, pourquoi parle-t-on de « lifehacks ». S’agit-il que ce sentiment de fuck la société de consommation qui se dégage de ces tutos tendres et candides à souhait ? Sentiment de fuck la vie aussi avec cette mystérieuse colle universelle et son pistolet magique qui relègue la super glue au rang d’antiquité.

  2. Oh ben pour ma part mon cher Thalu, ce que j’aime c’est ce glorieux sentiment de travailler mon ingéniosité, et puis sans doute le fantasme d’auto-suffisance (« Je fais pousser mon propre gingembre, rien ne peut m’arriver »). Hé hé.

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