Ouï soit qui mal y pense.

DIAMS

Je suis bien obligée de le confesser : jusqu’à aujourd’hui encore, je pensais qu’elle disait « au fond du tiroir de mon temps. » Or, en cherchant tout à l’heure, j’ai découvert que les vraies paroles étaient « au fond du cuir noir de mon gant ». Comment ai-je pu passer de ceci à cela ? Mystères du cerveau ; merveilles de l’audition. Sur ce, je vais voter, puis voir une exposition sur les animaux et le sexe. Cordialement.

Avec ça je vous mets la version fanfare, parce que faut quand même pas déconner :

3 réflexions sur « Ouï soit qui mal y pense. »

  1. Pendant des années, j’ai rien compris à la comptine une souris verte…
    Je croyais que « Me disent » était le nom du mec. Genre « C’est monsieur Medise, trempez la dans l’huile ».
    Ca veut rien dire, je sais. Mais j’étais quand même dans l’erreur jusqu’à il y a 4 ou 5 ans…

  2. Moi c’était le poteau rose. La découverte du poteau rose. Ben oui, ça collait en plus, c’est toujours stupéfiant de tomber sur un poteau rose.

    Misère.

  3. Marine : ou bien « ces messieurs médisent », les vilains.
    Gaël : le fameux poteau rose. Je crois qu’on a tous cru ça. :p

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