And then, cats won.

Si je pouvais au moins écrire droit et lisiblement, je considérerais avoir fait des progrès fulgurants (en plus j’ai laissé filer des fautes – tant pis j’ai pas le temps). Mais je n’en suis pas là. Que dire de plus ? Ah oui : ce temps gris et humide me donne envie d’écouter toutes les chansons sombres et déprimantes de ma collection musicale, de Black Mirror à She’s Lost Control en passant par La Bamba Triste. Et pourtant, novembre n’a même pas encore commencé, ce mois qui généralement donne le coup d’envoi de ma période « Assez, j’en ai assez, je veux passer le reste de mes jours sous ma couette à façonner de petites boules avec mes crottes de nez. » COOL OUAIS SYMPA.

2 réflexions sur « And then, cats won. »

  1. Tu étais au rayon croquette ? Un chat t’a convaincu d’aller lui chercher à bouffer pendant qu’il zone chez toi et urine discrétos contre tes montants de portes ??

  2. Eh oui. Une chatte qui m’oblige même à changer sa litière depuis maintenant 3 ans. Où va le monde.

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