Été après été après été

 

 

 

 

Ah la la, je rêve de fiche mon bide poilu à l’air libre. J’en ai testé un avant-goût ce week-end, et quel plaisir, mes enfants… Dire qu’autrefois, je redoutais de devoir me mettre en maillot de bain. Maintenant, moins j’ai de tissu, mieux je me porte. C’est quand je dois être habillée que je me sens souvent pas très à ma place. Qui sait, dans quelques années peut-être, le naturisme ?

Je rigole, pour l’instant, je suis pas prête. Certaines situations me font frissonner d’horreur par anticipation, comme par exemple : suer des cuisses sur du cuir ; se piquer les fesses sur des petits cailloux en s’asseyant dans l’herbe ; se râper le dos en s’adossant contre un mur en crépis, etc. etc. Vous allez me dire : ben Estelle, t’auras qu’à te balader avec une petite serviette et puis comme ça, pouf, tu l’installes, tu te poses dessus, et voilà, problème -> solution !! Oui mais bon, c’est contraignant, quand même !

Pas demain la veille que je serai total détente.

Bon allez, je vous laisse : faut que j’aille shaker mon petit tush sur le catwalk, parce que je suis trop sexy pour votre voiture.