Sylvothérapie et tout et tout

« Qu’est-ce qu’un Montague ? Ce n’est ni une main, ni un pied, ni un bras, ni ma chatte ! Gna gna gna, qu’y a-t-il dans un nom ? ». Bon, j’ai peut-être un peu transformé Shakespeare (« Chez qui ? » ha ha ha ! Bienvenue à l’Emporium de l’humour).

C’est bien étrange que ce soit précisément au saule-pleureur que j’aie pensé pour m’apaiser, vu qu’il est associé à tout un tas de symboliques du type : la compassion, le deuil, le renouveau, la protection, etc.

Le naturaliste Linné pensait avoir trouvé en lui l’arbre mentionné dans ce passage de la Bible : « Nous sommes assis sur le bord des fleuves de Babylone, et là nous avons pleuré en nous souvenant de Sion. Nous avons suspendu nos harpes aux saules qui sont au milieu de Babylone. »

Mais en fait il s’est gouré apparemment, c’était pas un saule, c’était un peuplier. AH LE NUL, EH ! Bravo, Carl. Bel exploit. Dixit : une personne anonyme ayant pris toutes les infos de cette note à la source de l’Internet sans les vérifier*. Exemple ci-dessous ->

Fun fact : la plupart des saules-pleureurs qu’on plante en France sont des femelles. Donc ben la prochaine fois que vous en croisez un, dites « Salut madame Saule-pleureuse, comment ça va aujourd’hui, la forme ? Puis-je m’abriter sous votre feuillage afin d’obtenir des guilis ? » Car c’est connu, les branches de saule-pleureur, ça chatouille. Source : moi-même.

* Ami·e·s botanistes ou biblistes (ça se dit ? Moi j’ai pas lu la Bible, et pourtant je suis allée au catéchisme, ha ha ha !), n’hésitez pas à rectifier mes erreurs.

Allez salut, pas que ça à faire, OK ?